Récemment, la firme de Cupertino a annoncé, via un communiqué de presse, l’ajout de 30 millions de dollars à l’initiative pour l’équité raciale et la justice (REJI). Il s’agit d’une initiative qui vise à soutenir les étudiants, les innovateurs et les organisations de défense de droits qui mènent la création d’un monde plus inclusif et plus juste. Bravo Apple !
30 millions de dollars supplémentaires pour créer un monde plus juste
En ajoutant 30 millions de dollars à l’initiative REJI, Apple souhaite lancer de nouveaux projets. Il s’agit d’un centre mondial d’innovation en matière d’équité des institutions hispaniques (HSI), des initiatives d’éducation élargies pour les collègues communautaires et les collègues et universités historiquement noirs (HBCU). De plus, la Pomme lancera une nouvelle cohorte du laboratoire technologique immersif Apple Entrepreneur Camp pour les fondateurs et les développeurs hispaniques/latins. Le géant américain financera aussi les dirigeants travaillant à faire progresser la réforme de la justice pénale et la justice environnementale.
Pour rappel, tous les projets lancés dans le cadre de l’initiative REJI s’appuient sur un investissement initial de 100 millions de dollars.
« L’appel à construire un monde plus juste et plus équitable est urgent, et chez Apple, nous ressentons la responsabilité collective d’aider à faire avancer les progrès », indique le patron de la Pomme, Tim Cook.
Apple est vraiment sur le devant de la scène
La firme américaine indique que la somme de 30 millions de dollars s’ajoute à son investissement initial de 100 millions de dollars. L’initiative aidera les jeunes à lancer leurs propres entreprises, à développer de nouvelles technologies révolutionnaires… et ce dans le cadre de l’équité raciale et de la justice.
Selon les dires de Tim Cook, Apple déploie les efforts pour s’attaquer aux « barrières systémiques » auxquelles font face les personnes de couleur, notamment les Afro-Américains. « Que ce soit chez Apple ou n’importe où dans la société, le poids du changement ne doit pas reposer sur les épaules de ceux qui sont sous-représentés (…). Il incombe avant tout à ceux qui sont en position de pouvoir et d’influence de changer les structures pour le bien commun », a-t-il ajouté.
