Jeff Bezos n’est plus l’homme le plus riche du monde laissant sa place à un Français

Après sa chute en bourse, le fondateur d'Amazon, Jeff Bezos, s'est fait doubler par un magnat du luxe, Bernard Arnault, un Français.
Léa Bédier
La chute du cours d'Amazon a relégué Jeff Bezos au rang de 2ᵉ fortune mondiale. © Amazon

Le fondateur du géant américain Amazon, Jeff Bezos, a perdu son titre de première fortune mondiale. Et non, ce n’est pas parce qu’il a préféré passer du temps loin de notre chère planète Terre…

Le média Entrepreneur signale que la première place est désormais conquise par un Français. Ce dernier est connu pour occuper une grande place dans le luxe puisqu’il est le président du groupe LVMH.

Une chute de l’action d’Amazon qui impacte Jeff Bezos

L’an dernier, Jeff Bezos avait battu tous les records en devenant la première personne à valoir plus de 200 milliards de dollars.

En l’espace de seulement une journée, sa valeur nette a chuté de 13,9 milliards de dollars. Cette dévaluation exorbitante est liée au cours de l’action en bourse d’Amazon, qui a diminué de 7 % la semaine dernière. En effet, la croissance de l’entreprise est inférieure aux prévisions annoncées pour le deuxième trimestre de l’année.

Une dévaluation qui profite au français Bernard Arnault

Cette chute de l’action d’Amazon a été très profitable à Bernard Arnault. Ce dernier est à la tête de LVMH, l’empire mondial du luxe, qui détient un portefeuille de marques prestigieuses : Louis Vuitton, Dior, Givenchy, Kenzo, Séphora, Fendi…

Les actions de LVMH ont pourtant chuté, elles aussi, faisant perdre 2,9 milliards de dollars à leur PDG. Cette baisse n’a cependant pas empêché Bernard Arnault de dominer Jeff Bezos au classement des fortunes mondiales. Lundi 2 août 2021, la valeur nette d’Arnault était évaluée à 195,8 milliards de dollars, tandis que celle de Bezos culminait à 192,6 milliards de dollars.

Ceci étant dit, il n’y a aucune raison de s’inquiéter concernant les finances de l’ex-patron d’Amazon. Selon nos dernières informations, il aurait affirmé être prêt à débourser la coquette somme de 2 milliards de dollars pour financer un atterrisseur lunaire de la NASA.

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